Blog de Marie-Christine Burricand
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Déclaration de Marie-Christine BURRiICAND et Christian FALCONNET pour le 19 janvier

vendredi 15 janvier 2010, par mcb

Le débat sur le projet de loi de réforme des collectivités territoriales débutera ce mardi 19 janvier au Sénat. Les élus communistes et républicains appellent à se rassembler ce même jour devant le sénat.
Nous sommes pleinement partie prenante de ce rassemblement.
Nous sommes engagés pour faire grandir la résistance à cette réforme qui est en fait un coup d’état orchestré par Nicolas Sarkozy contre la république, la démocratie et les services publics et qui conduit à terme à la suppression des communes et des départements pour les remplacer par des super-structures technocratiques sur lesquelles les citoyens n’auront aucune prise.
Suppression de la taxe professionnelle, Révision Générale des Politiques Publiques, tout est bon pour s’attaquer aux ressources des collectivités locales et aux services publics à la population. Au travers de la baisse de l’investissement public, c’est aussi l’emploi qui est visé.
Une fois de plus, ce gouvernement s’en prends aux salariés, aux habitants des quartiers populaires, tandis que le mille-feuilles des grandes fortunes et des financiers est protégé et favorisé, puisque ces réformes libèreront des pans entiers de la vie sociale à la marchandisation, créant ainsi de nouvelles exclusions et injustices.
Le département du Rhône, avec le ministre-président du Conseil général Michel Mercier, est pilote pour la mise en œuvre de ces réformes.
Vénissieux a une longue expérience de luttes et de rassemblement pour la solidarité, la justice, le respect des droits des habitants.
Sarkozy et le patronat ont besoin de faire éclater le cadre républicain pour donner satisfaction aux marchés financiers. Il veulent gommer tout ce qui subsiste en France des conquêtes populaires : les communes et les départements issus de 1789, les services publics portés par le Conseil National de la Résistance en 1945, les droits nouveaux conquis en 1968.
En 2005, nous avons dit Non très majoritairement à la Constitution européenne. Aujourd’hui, ce gouvernement veut faire passer au forceps une réforme qui s’inscrit dans le droit fil de cette constitution, des traités de Maastricht et Lisbonne.
Ensemble, nous avons la force de résister et d’exiger que la peuple ait le dernier mot.

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